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Défi de Cricket... Prélude
Défi de Cricket
Prélude
C'est le prélude de la faim
Celui que l'on tient dans nos mains.
Il ne faut pas feindre
Ceux qui ne possèdent rien.
La pauvreté est à nos portes
Ce n'est point une feinte.
Alors que Noël approche
Un menu subtil et fin en offrande
réchauffer les âmes en souffrances.
Soulager ne serait-ce qu'un soir
Afin de redonner de l'espoir aux pauvres.
Le système nous prend ce que nous avons
De meilleur, nos esprits sont leurs otages.
Il est tant que ça change.
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Prélude
Petite partition sympathique
Ré, do, mi, fa, sol, la, si, do
Exquis à nos âmes fragiles
Lumières bleues suspendues
Univers fantastique, délicieux
Donne le meilleur de soi.....
Envole tout ce qui est léger.
Arlette
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Commentaires
Bel écrit comme toujours
La musique adoucit les mœurs
Oui soyons vigilent, aidons ceux qui ne font pas de bruit
Ils sont là juste à côté de nous
Même un sourire peut leur réchauffer le coeur
Merci du partage
Bises
Bonjour Arlette très beau texte que tu as écris j'aime beaucoup te lire car c'est vraiment très mots et tu sais toujours trouver les mots merci pour ton commentaire qui me va droit au coeur et pour ta création de Jésus que tu as mis sur mon blog j'espère que tu va bien ?je te souhaite de passer une très bonne journée prend soin de toi ma douce fée
Gros bisous et câlins à Benji ton amie
Béa
Les fêtes sont difficiles quand tu ne peux pas participer et que tu vois toutes les vitrines remplies de luxe.
Bon mercredi.
Noël, tous ses fastes, ses lumières, ses bombances, me fait penser à ce joli mais triste conte d'Andersen : "La petite fille aux allumettes". Il y a ceux qui ont, un toit, de quoi se vêtir, se chauffer, manger à leur faim et il y a ceux qui regardent, le ventre vide. L'esprit de vrai partage a-t-il totalement disparu dans notre société ? On donne pour les restaus du coeur, pour la croix rouge et autres oeuvres caritatives et c'est bien mais est-ce assez ? De beaux gestes certes, qui nous donnent bonne conscience. Qui ouvre encore sa porte et sa table à un pauvre pour Noël ? Je fais mon mea culpa ! Il y a des années, un jeune sans abri est venu frapper à ma porte en plein hiver. J'étais seule à la maison. Je l'ai fait entrer. je lui ai offert un café et un sandwich qu'il a dévoré au chaud. puis je lui en ai préparé deux autres et je l'ai envoyé chez ma voisine pour qu'elle lui donne une couverture. Ni elle ni moi ne pouvions le loger. Il avait été jeté comme un malpropre par le CCAS de ma ville. Il pleurait en partant. Il m'a dit qu'il allait faire une connerie pour se faire arrêter et dormir en prison. J'ai su qu'en effet, il s'était fait arrêter pour vol le lendemain. Il avait cambriolé chez des personnes de mon quartier. Un magnétophone, de l'agent des vêtements... Mais il n'a "visité ni ma voisine ni moi ! Je me suis fait rudement gronder par mon mari quand je lui ai raconté. J'aurais pu me faire attaquer m'a-t-il dit. Je n'ai pas pensé à ça quand il a frappé chez moi ce pauvre gars ! Si c'était à refaire, je ferai la même chose que ce jour-là.
Chacun de nous a le pouvoir de changer les choses !
Toutes mes excuses pour ce long commentaire
J'ai aimé te lire mon amie. Tu me donnes toujours matière à réfléchir en bien ! Merci
Gros et doux bisous
Anne-Marie
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Un moment festif est encore plus dure à vivre pour celui qui restera dans son quotidien de misère... Tout devient si cher, là on dit stop ! On aimerait la même musique douce pour tous, une vie de rêve, mais.... belle journé, amitiés, jill